Déesses du monde

femme plurielle

 

 

Participante : Glow 

 

Partant de l’idée que les femmes ont une place plus importante dans les cultes polythéïstes que dans les religions monothéiste actuelles qui identifient le pouvoir du sacré aux mains seules du masculin.J’ai donc voulu rendre de la visibilité à ses divinité puissante incarnée par des femmes. Je souhaitais découvrir la femme au travers des religions anciennes afin de cerner la perception globale et les symboliques auxquelles les différents peuples de part le monde attribuée au genre “femme”. Oya « Grande Mère des Anciennes de la nuit (sorcières)”, elle est une Orisha, une déesse africaine, parmi les plus puissantes. Maîtresse du feu et de l’air, OYA peut provoquer à elle seule
de grands changements, parfois très rapides, et guide les hommes lors de ces transformations. Déesse du changement, OYA est aussi la déesse de la clairvoyance, de l’intuition et de la renaissance. On la retrouve au Nigéria et au Brésil sous le nom de Lansa. Elle est l’impulsion du changement sous
ses diverses formes… Elle est le souffle qui guide les âmes défuntes vers les cieux. Le vent qui soulève les tempètes et averses, le feu qui anime la vie, le feu qui détruit ou qui rend fertile. Grande protectrice de la vie et de la femme au sein du foyer. ‘’gare à celui qui portera atteinte à son épouse car elle
fera naître une tempête sur son chemin”. Déesse de l’étoile
filante Elle est fille du soleil et de la lune. Porteuse d’union entre tous les enfants de la terre-mère :“Nous formons un seul peuple, un seul esprit”Issue de plusieurs mythes Amérindiens on la retrouve dans la culture Sioux et Lakotas. Descendue sur terre pour apporter aux humains la paix et l’harmonie avec le vivant. Enveloppée d’un nuage, apparaissant d’abord sous la forme d’un bison argenté aux guerriers de la tribu, puis se transformant en femme. Elle testa le respect des hommes envers la nature et les femmes. Celui qui tentait de la toucher pour se l’approprier fut instantanément enveloppé de fumée et réduit en poussière d’os. Telle fut sa punition pour ses pulsions impures. Elle fit don aux tribus d’un calumet de la paix. Afin que l’humanité puisse honorer cette paix, et cette harmonie, les hommes devront effectuer à chaque lune un rituel de purification, en se rassemblant sous des huttes de sudation. Quand aux femmes ce rituel ne s’impose pas car selon la légende elles sont déjà purifiées lors de leurs menstruations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

APPEL à participation

Dans cette oeuvre, Ludivine souhaite pouvoir faire transparaître la pluralité d’une femme, en utilisant une technique de surimpression de trois portraits pour décrire en image un instant, une rencontre avec une femme.
Pour cela l’oeuvre est pensée en plusieurs étapes de réalisation :
Temps de rencontre et de discussion Photographie Choix des trois portraits et Montage en surimpression
Pour son oeuvre “Femmes plurielles”, Ludivine Fleury cherche des participantes.
Vous pouvez la contacter pour un rendez-vous entretien et prises de vue.